Après moultes péripéties et stratèges pour faire aller Matis dans la bonne direction, celle du sommet, et pas les dizaines de petits chemins annexes, nous somment arrivés en haut. Pas en haut, mais en Haut. Vu d'en bas, le Mont-Royal, ça paye pas de mine, mais une fois au sommet, on se rend compte de l'étendue de Montreal, de son découpage particulier causé par le fleuve et les parcs, et on comprend vraiment que l'on se trouve face (ou plutôt en plein) dans une ville de type "américaine": quadrillage des routes et avenues, buildings du centre ville, et malgré cette urbanisation, un nombre relativement élevé de verdure.
Une fois installés au pied d'un arbre, au bord du "lac des castors", il était bon de se faire un picnic bien mérité après ces heures de marche. Heuresement que les globe-trotters expérimentés que son Yannig et Mélissa avait prévu le pain, les oeufs, les poivrons, les sardines, les feuilles de vigne, les tartes au pomme-banane-poire-amande (faites par Yannig himself, miaaaam) car nous n'avions que quelques fruits achetés rapidos sur le chemins !
Après quelques temps passés à se reposer, sous un ciel plus que clément malgré les orages annoncés à la météo, nous somme revenu à la civilisation... mais en bus, cette fois, les enfants (et nous aussi) étants trop fatigués pour refaire 2 heures ou plus de marche.
Une bonne bière (ou 4) dans un bar avec Yannig et Mélissa nous a permis d'apprécier les cris de joie des Montréalais à chaque but du match de hockey contre Philadelphie, score final 5-1 pour les Canadiens (l'équipe de Montréal, exceptionnellement bonne cette saison apparemmen).
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