Alors voilas, de nouvelle chansons, enregistrées un peu a la va vite, mais bon, on saisis l'idée.
Enjoy !
jeudi 23 septembre 2010
mercredi 22 septembre 2010
Nos vacances aux USA
Alors voilas, ça fait maintenant... trois semaines environ que nous sommes revenu des USA, le travail a repris pour ma part depuis presque deux semaine, et on finit par se rétablir dans une ambiance de ville, de Montréal, même si en revenant je me suis demandé comment j'allais faire pour gérer cette crise psychologique !
Mais assez d'intro, passons aux vacances proprement dîtes:
C'était excellent !
Le mardi matin, Paulo est allé sur Saint-Joseph louer une voiture chez Via-route, c'était les moins cher en ce qui concerne le fait de devoir traverser la frontière et les questions d'assurance que cela implique. N'étant pas encore âgé de 25ans, on a du payer une sur-taxe de 10$/jours, ça reste raisonnable.
Je sors du travail à 14h, je rentre direct, enfin, direct, une voiture ma coupé la priorité a un feu, et heureusement qu'elle a freiné fortement, sinon j'étaie dedans. Mais j'ai quand même finit à taper le trottoir d'en face a pleine balle, du coup ma roue avant s'est littéralement pliée, et mon pneu a explosé, j'ai donc finit le trajet a porter mon vélo sur mon épaule, avec de gentil niaiseux dans une voiture à côté de moi dans les embouteillage qui m'offrait de me racheter mon vélo pour cinq pièce... ah - ah - ah, t'es pas drôle où tu le fait exprès !?!!
Bref, arrivé à l'appart, le temps de finir deux trois trucs et c'était partis, notre appartement bien gardé par Mélissa et Yannig qui était à ce moment précis sans logement, quelle synchronisation hein !
La route, ah, que c'est bon ! bon ici c'est un peu dangereux, on a le droit de te doubler par la droite, alors ça peux surprendre !
On s'arrête au Duty-Free, on fait le plein d'alcool, Paulo achète une montre de grand-père, et on est repartis.
Et puis, bin ouai, la douane, enfin, la frontière quoi.
Une frontière ça fait bizarre, je préfère l'Europe pour ça, il n'y en a pas !
Mais on a pas eu de problème du tout, juste un frais de 6$, deux trois papiers remplis et c'était repartis. Toujours pas plus fan des frontières, même si, à ce qu'on me dit, elle est soft, étant la plus longue frontière au monde non-militarisée.
Petit à petit le paysage change, ça devient, plus... forêt, ouai, y'a pas d'autre terme. Le Vermont, le New Hampshire (où nous allions) n'est qu'une immense et vaste forêt, de la forêt, encore de la forêt pendant des heures de route ! c'est bizarre, t'as pas trop l'impression d'avancer en réalité.
Et c'est là, la première fois, que j'ai commencé a prendre conscience de l'immensité des USA. Ça aide aussi à comprendre d'autres choses, mais j'y reviendrai plus tard.
On arrive le soir, vers 19h30 chez une amie de Tristan, qui habites dans une sanctuaire de vie sauvage, sa maison était la plus proche autorisée... d'un lac !!! oh yeah !
A à peine 100 mètres de la maison en bois, un lac magnifique, avec l'eau tellement claire qu'en plein milieu on pouvais presque distinguer le fond par en temps radieux.
Rachael, l'amie de Tristan est une fille absolument agréable, on en fait plus des comme ça, aussi sympa, aussi accueillante, bref, la personne idéal pour nous accueillir en vacances.
Les vacances dans ce sanctuaires furent excellente, trop courtes, forcément, mais excellentes:
les ballades dans la forêt, m'emmenant en haut d'une colline avec la vue sur toute la vallée, les baignades dans le lac, le canoë, la rencontre d'une tortue, de petits écureuils étranges qu'on appellent des "suisses" au Québec !!! Et d'un serpent aussi, mais non, pas d'ours malheureusement ! ahaha !
Nous avons aussi passé une mâtiné à petit déjeuner chez les parents de Laurel, la femme de Tristan, rencontre avec leur fille Rose, je suis pas fan des enfants, mais elle est mignonne j'imagine, et surtout bien rigolote, ça je comprends mieux, les enfants sont d'une ironie et d'un sarcasme étonnant, car ils arrivent a rendre ces dernières qualités non des choses noires et et désinvoltes, mais au contraire des moment d'amusement plein de naturel.
Un soir nous sommes allé manger un burger dans une place typique américaine, genre vieux trailer, au bord d'un parking, sièges aux bar, nourriture de merde excellente, le Peterboro's Diner.
La chronologie des évènements ne m'apparait plus clairement, même si chacun d'entre eux reste encore clairement en mémoire, ceci pour expliquer l'aspect flash d'image, et non livre d'histoire.
Un matin, réveillés tôt, nous sommes partis pour Boston, Tristan ayant juste repris ses cours, histoire de visiter cette superbe ville,et aller voire ce mythe qu'est Harvard !
Arrivé à Boston, nous allons manger un bout avec Tristan et Laurel. Puis ils nous font visiter un peu le village qu'est Harvard:
Une vraie petite ville, le vieux centre trônant au "milieu", avec son patch de verdure où des étudiant s'envoient des balles de football américain, lisent des livres, s'allongent dans l'herbe, contre un arbre, ça donne comme une envie d'étudier d'un coup d'un seul !
Après cela, nous sommes partis visiter le centre ville de Boston.
C'est une ville magnifique, et, même si je me répète, elle est magnifique, pardon, pas magnifique, non non, magnifique !
Les quartiers sont définis, chacun son style distinct, une ambiance Irlandaise, une ambiance Italienne, une ambiance américaine, on s'y perd, mais on adorent ! Et les buildings! rien à voire avec Montréal, c'est bien plus haut !!! et bien plus compact. Je n'aie encore jamais vu New York, mais je me dis: si ça c'est déjà comme ça, qu'est ce que ça peu être !?!!!
Dans un parc, avec Jeanne, nous avons fait la rencontre d'un écureuil particulièrement... dingue ! Il était à quelques pas de nous, nous regardais, puis sautais dans tout les sens, se roulais par terre, ressautais, tournais en rond, genre il faisait son show, absolument hallucinant et tellement drôle !
Le soir, nous somme allé avec Tristan et des amis à lui, Colin et Michelle, dans une place intéressante, un restaurant bien de pizzas, avec à côté, ouvert, un Bowling.
Pas le genre de bowling qu'on connais, on appel ça ici du candlepin, si j'ai bien compris.
ça se joue avec des boule plus petites, et les quilles sont beaucoup moins grosse... c'est bien plus difficile que du bowling, mais ça a sont charme, et avec un petit whisky, ça devient le fun !
La soirée finis, nous faisons nos adieux à Tristan, Colin et Michelle, et nous repartons pour le lac, une bonne heure et demi de voiture, retour chez Rachael pour le dernier jours et demi avant notre départ.
Un peu plus de baignade, de canoë, de ballades de visite d'un marcher locale avec Rachael, avec des musiciens jouant du Dylan au milieu, oh yeah, un déjeuné américain pancake, bacon, œuf, et j'en passe et le voyage touchait à sa fin...
Non sans regret, on se retrouvaient un samedi midi à dire au revoir à Rachael, nos affaires dans la voiture la plus inconfortable du monde (ah ouai, je vous ai pas dit, les KIA, c'est de la merde absolut, impossible de ne pas se briser la nuque en dormant, n'a-ch-e-ter pas ça)
Et c'était repartis, on quitte les vieilles voitures des films, on quitte la forêt, on quitte le calme et le silence, on repart vers Montréal, le teint rouge et bronzé, brulé, l'humeur rechargée à bloc, mais un peu ternis pas une fin si soudaine de bien être (ouaaa, ça tue cette phrase hein?! ahaha!)
On reviens donc, le ciel et gris en arrivant à Montréal, les nuages noires touches presques les buildings étrangement, une vue macabre au retour d'une courte semaine de soleil !
Mais ne soyons pas si sombre pour nous quitter, oh non, quittons nous avec les photos du voyage, sagement préservée pour aider à apaiser cette fin abrupte:
Mais assez d'intro, passons aux vacances proprement dîtes:
C'était excellent !
Le mardi matin, Paulo est allé sur Saint-Joseph louer une voiture chez Via-route, c'était les moins cher en ce qui concerne le fait de devoir traverser la frontière et les questions d'assurance que cela implique. N'étant pas encore âgé de 25ans, on a du payer une sur-taxe de 10$/jours, ça reste raisonnable.
Je sors du travail à 14h, je rentre direct, enfin, direct, une voiture ma coupé la priorité a un feu, et heureusement qu'elle a freiné fortement, sinon j'étaie dedans. Mais j'ai quand même finit à taper le trottoir d'en face a pleine balle, du coup ma roue avant s'est littéralement pliée, et mon pneu a explosé, j'ai donc finit le trajet a porter mon vélo sur mon épaule, avec de gentil niaiseux dans une voiture à côté de moi dans les embouteillage qui m'offrait de me racheter mon vélo pour cinq pièce... ah - ah - ah, t'es pas drôle où tu le fait exprès !?!!
Bref, arrivé à l'appart, le temps de finir deux trois trucs et c'était partis, notre appartement bien gardé par Mélissa et Yannig qui était à ce moment précis sans logement, quelle synchronisation hein !
La route, ah, que c'est bon ! bon ici c'est un peu dangereux, on a le droit de te doubler par la droite, alors ça peux surprendre !
On s'arrête au Duty-Free, on fait le plein d'alcool, Paulo achète une montre de grand-père, et on est repartis.
Et puis, bin ouai, la douane, enfin, la frontière quoi.
Une frontière ça fait bizarre, je préfère l'Europe pour ça, il n'y en a pas !
Mais on a pas eu de problème du tout, juste un frais de 6$, deux trois papiers remplis et c'était repartis. Toujours pas plus fan des frontières, même si, à ce qu'on me dit, elle est soft, étant la plus longue frontière au monde non-militarisée.
Petit à petit le paysage change, ça devient, plus... forêt, ouai, y'a pas d'autre terme. Le Vermont, le New Hampshire (où nous allions) n'est qu'une immense et vaste forêt, de la forêt, encore de la forêt pendant des heures de route ! c'est bizarre, t'as pas trop l'impression d'avancer en réalité.
Et c'est là, la première fois, que j'ai commencé a prendre conscience de l'immensité des USA. Ça aide aussi à comprendre d'autres choses, mais j'y reviendrai plus tard.
On arrive le soir, vers 19h30 chez une amie de Tristan, qui habites dans une sanctuaire de vie sauvage, sa maison était la plus proche autorisée... d'un lac !!! oh yeah !
A à peine 100 mètres de la maison en bois, un lac magnifique, avec l'eau tellement claire qu'en plein milieu on pouvais presque distinguer le fond par en temps radieux.
Rachael, l'amie de Tristan est une fille absolument agréable, on en fait plus des comme ça, aussi sympa, aussi accueillante, bref, la personne idéal pour nous accueillir en vacances.
Les vacances dans ce sanctuaires furent excellente, trop courtes, forcément, mais excellentes:
les ballades dans la forêt, m'emmenant en haut d'une colline avec la vue sur toute la vallée, les baignades dans le lac, le canoë, la rencontre d'une tortue, de petits écureuils étranges qu'on appellent des "suisses" au Québec !!! Et d'un serpent aussi, mais non, pas d'ours malheureusement ! ahaha !
Nous avons aussi passé une mâtiné à petit déjeuner chez les parents de Laurel, la femme de Tristan, rencontre avec leur fille Rose, je suis pas fan des enfants, mais elle est mignonne j'imagine, et surtout bien rigolote, ça je comprends mieux, les enfants sont d'une ironie et d'un sarcasme étonnant, car ils arrivent a rendre ces dernières qualités non des choses noires et et désinvoltes, mais au contraire des moment d'amusement plein de naturel.
Un soir nous sommes allé manger un burger dans une place typique américaine, genre vieux trailer, au bord d'un parking, sièges aux bar, nourriture de merde excellente, le Peterboro's Diner.
La chronologie des évènements ne m'apparait plus clairement, même si chacun d'entre eux reste encore clairement en mémoire, ceci pour expliquer l'aspect flash d'image, et non livre d'histoire.
Un matin, réveillés tôt, nous sommes partis pour Boston, Tristan ayant juste repris ses cours, histoire de visiter cette superbe ville,et aller voire ce mythe qu'est Harvard !
Arrivé à Boston, nous allons manger un bout avec Tristan et Laurel. Puis ils nous font visiter un peu le village qu'est Harvard:
Une vraie petite ville, le vieux centre trônant au "milieu", avec son patch de verdure où des étudiant s'envoient des balles de football américain, lisent des livres, s'allongent dans l'herbe, contre un arbre, ça donne comme une envie d'étudier d'un coup d'un seul !
Après cela, nous sommes partis visiter le centre ville de Boston.
C'est une ville magnifique, et, même si je me répète, elle est magnifique, pardon, pas magnifique, non non, magnifique !
Les quartiers sont définis, chacun son style distinct, une ambiance Irlandaise, une ambiance Italienne, une ambiance américaine, on s'y perd, mais on adorent ! Et les buildings! rien à voire avec Montréal, c'est bien plus haut !!! et bien plus compact. Je n'aie encore jamais vu New York, mais je me dis: si ça c'est déjà comme ça, qu'est ce que ça peu être !?!!!
Dans un parc, avec Jeanne, nous avons fait la rencontre d'un écureuil particulièrement... dingue ! Il était à quelques pas de nous, nous regardais, puis sautais dans tout les sens, se roulais par terre, ressautais, tournais en rond, genre il faisait son show, absolument hallucinant et tellement drôle !
Le soir, nous somme allé avec Tristan et des amis à lui, Colin et Michelle, dans une place intéressante, un restaurant bien de pizzas, avec à côté, ouvert, un Bowling.
Pas le genre de bowling qu'on connais, on appel ça ici du candlepin, si j'ai bien compris.
ça se joue avec des boule plus petites, et les quilles sont beaucoup moins grosse... c'est bien plus difficile que du bowling, mais ça a sont charme, et avec un petit whisky, ça devient le fun !
La soirée finis, nous faisons nos adieux à Tristan, Colin et Michelle, et nous repartons pour le lac, une bonne heure et demi de voiture, retour chez Rachael pour le dernier jours et demi avant notre départ.
Un peu plus de baignade, de canoë, de ballades de visite d'un marcher locale avec Rachael, avec des musiciens jouant du Dylan au milieu, oh yeah, un déjeuné américain pancake, bacon, œuf, et j'en passe et le voyage touchait à sa fin...
Non sans regret, on se retrouvaient un samedi midi à dire au revoir à Rachael, nos affaires dans la voiture la plus inconfortable du monde (ah ouai, je vous ai pas dit, les KIA, c'est de la merde absolut, impossible de ne pas se briser la nuque en dormant, n'a-ch-e-ter pas ça)
Et c'était repartis, on quitte les vieilles voitures des films, on quitte la forêt, on quitte le calme et le silence, on repart vers Montréal, le teint rouge et bronzé, brulé, l'humeur rechargée à bloc, mais un peu ternis pas une fin si soudaine de bien être (ouaaa, ça tue cette phrase hein?! ahaha!)
On reviens donc, le ciel et gris en arrivant à Montréal, les nuages noires touches presques les buildings étrangement, une vue macabre au retour d'une courte semaine de soleil !
Mais ne soyons pas si sombre pour nous quitter, oh non, quittons nous avec les photos du voyage, sagement préservée pour aider à apaiser cette fin abrupte:
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